Le mercredi 20 février, à Angers, a eu lieu un rassemblement organisé
par le Rassemblement des Étudiants de Droite (RED). Le rassemblement
-d’environ 30 personnes et soutenu par des responsables politiques
locaux du Front National (FN)- était destiné à soutenir le gérant de la
sandwicherie Subway de Saint-Serge qui avait placardé sur son restaurant
une affiche homophobe le jour de la Saint-Valentin.
Notre objectif n'est pas de donner trop d'importance à ce groupuscule
d'étudiants d'extrême-droite qui ne représentent qu'eux-mêmes.
Cependant, notre union syndicale -qui regroupe les syndicats SUD et
Solidaires du département- et un de nos syndicats en particulier, ont
été directement visés lors de ce rassemblement. Était mis en cause un
communiqué de SUD-Solidaires Etudiant Angers, réagissant à la fameuse
affiche et dénonçant l'homophobie dans la société et l'enseignement
supérieur. Lors du rassemblement du RED, on pouvait lire sur leur banderole des propos tels que « SUD =
collabo, délateur/non à l'homofolie ». Sur le le groupe Facebook créé
pour l’évènement, on pouvait lire que SUD Etudiant était “une insulte à
l’identité française”.
Pour SUD-Solidaires étudiant Angers et Solidaires 49, ces propos sont choquants, faux, injurieux. SUD/Solidaires étudiant Angers et Solidaires 49 se réservent la possibilité de donner des suites judiciaires à l’encontre des auteurs de ces propos. L'Union Syndicale Solidaires défend les salarié-es et les étudiant-es au quotidien sur leurs lieux de travail et d’étude, et ses valeurs sont bien loin de celles que cette "organisation" lui prête.
Chassez le naturel, il revient vite au galop : l'extrême droite a montré une fois encore son vrai visage : haineux, homophobe et anti-syndical.
Pour SUD-Solidaires étudiant Angers et Solidaires 49, ces propos sont choquants, faux, injurieux. SUD/Solidaires étudiant Angers et Solidaires 49 se réservent la possibilité de donner des suites judiciaires à l’encontre des auteurs de ces propos. L'Union Syndicale Solidaires défend les salarié-es et les étudiant-es au quotidien sur leurs lieux de travail et d’étude, et ses valeurs sont bien loin de celles que cette "organisation" lui prête.
Chassez le naturel, il revient vite au galop : l'extrême droite a montré une fois encore son vrai visage : haineux, homophobe et anti-syndical.